De bons rendements commencent par une bonne information
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Le soja est
originaire de Chien, de la plante sauvage «Glycine soja» et est la légumineuse
la plus importante au monde. Sa teneur élevée en protéines (33 à 40%), sa
valeur nutritive élevée et sa teneur en huile (17 à 21%) en fait un constituant
majoritaire de la nutrition humaine et animale. Principalement produits en
Amérique du Nord et du Sud, la Chine et l'Union européenne sont les plus gros
importateurs. Cependant, la production de soja a considérablement augmenté dans
toute l'Europe ces dernières années.
Un
approvisionnement en eau approprié est important, en particulier au début de la
floraison et pendant le développement des gousses.
Le
phosphore et le potassium doivent être appliqués en fonction des exportations ou
équilibrés dans la rotation des cultures.
Selon leur
origine géographique, le soja est une plante à jours courts, ce qui retarde sa
phase de floraison. En raison de son développement lent, une importance est donnée
à la lutte contre les adventices. Le soja a besoin d'un climat chaud et humide
ainsi que de sols aérés. Pour la plantation, le sol a besoin d'une température
minimale du sol de 10 ° C. Comme les légumineuses, les plantes sont capables de
capturer l'azote de l'air et le soja possède un système racinaire étendu. Par
conséquent, le soja est capable d'améliorer la structure du sol et est une
culture très précieuse dans la rotation. Afin d'éviter la maladie de la
pourriture Sklerotinia, des intervalles de culture de 4 à 5 ans sont
recommandés. Le soja a tendance à être semé en même temps que le maïs.
L'inoculation avec des bactéries Rhizobium est nécessaire si elle est plantée
pour la première fois et augmente les rendements si elle est pratiquée pour des
cultures répétées.
Le soja a une
forte demande en azote, qui est presque entièrement couverte par la fixation
biologique de l'azote des bactéries nodulaires au niveau des racines. Les
nodules devant se développer en premier, une fertilisation azotée de départ de
30 kg / ha est recommandée sur les sols à faible apport en azote. Le phosphore
et le potassium doivent être appliqués en fonction des exportations et de
l'approvisionnement par le sol.
(unité/t de récolte)
(unité/t de récolte)
N
50
*-10
Modérément sensible
P₂O₅
18
15
Sensible
K₂O
57
17
Sensible
MgO
11
4
Sensible
SO₃
7.2
4.7
Sensible
TE
Mo et Co importants pour la fixation de l'azote
Le tableau montre
l’assimilation des nutriments par la plante et les exportations par tonne de
récolte. Un rendement de 4 tonnes par hectare élimine 60 kg de P2O5 et 70 kg de
K2O par hectare. Un minimum de 10 kg d'azote reste dans le sol pour la
prochaine récolte.
Étant donné que
80% des besoins en azote sont fournis par la fixation biologique de l'azote, la
fertilisation n'est requise que sur les sols à faible teneur en azote. 30 kg/ha est approprié pour le démarrage de
la culture.
Un potentiel de
rendement moyen nécessite environ 65 kg de P2O5 et 90 kg de K2O par hectare.
Sur les sols
fertiles, l’exportation des nutriments peut être équilibré en fertilisant des
cultures plus exigeantes telles que le maïs ou la betterave sucrière dans la
rotation des cultures. Le chaulage améliore la fixation biologique de l'azote
sur les sols à pH bas.
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Tour Ciel, 20 Ter Rue de Bezons,
92400 Courbevoie, France
